Translations:CP 03065/28/fr
Jump to navigation
Jump to search
Pardonne-moi de n'avoir pas répondu plus tôt à ta lettre[1]. J'ai eu beaucoup de souffrances physiques et morales. Je fais bien des vœux pour toi, en ces jours pourtant si tristes qui nous rappellent que les années reviennent chargées des mêmes beautés naturelles, mais sans ramener avec elles les êtres. Hélas en 1916 il y aura des violettes, des fleurs de pommier, avant cela des fleurs de givre, mais il n'y aura plus Bertrand[2].