All translations

Jump to navigation Jump to search

Enter a message name below to show all available translations.

Message

Found 2 translations.

NameCurrent message text
 h English (en)<ref name="n7"> Note 7 </ref>
 h French (fr)<ref name="n7"> Entendons : si Proust ne peut déposer à la London County & Westminster Bank des valeurs de tout premier ordre en gage, cet établissement ne pourra pas rembourser au Crédit industriel et commercial la totalité de ce que Proust lui doit encore. Dans sa lettre du 25 mai 1916 (CP 03115 ; Kolb, XV, n° 51), Hauser établira un calcul précis de la dette de Proust auprès du Crédit industriel et du montant des valeurs boursières qu'il doit donner en gage au nouvel établissement pour obtenir le prêt qui servira à solder cette dette : fin février 1916, sur son avance initiale de 218 000 francs, il devait encore 184 000 francs ; grossi de 1300 francs par mois d'intérêts et de frais de commissions, son solde débiteur allait atteindre environ 190 000 francs fin mai. De plus, Proust a également au Crédit industriel et commercial une position de Bourse débitrice d'environ 9300 francs (les engagements « à terme » augmentés des intérêts moratoires, qu'il n'a pas encore fini de rembourser). C'est donc 200 000 francs qu'il doit emprunter auprès du nouvel établissement, fin mai 1916, pour se libérer définitivement du Crédit industriel et commercial. Mais pour obtenir ce transfert, il doit offrir en gage des valeurs sûres pour environ 270 000 francs, une marge de sécurité d'au moins 20% étant nécessaire. [FL] </ref>