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 h English (en)<ref name="n4"> Note 4 </ref>
 h French (fr)<ref name="n4"> Sur l'avance de 218 000 francs que Proust avait obtenue en 1912 du Crédit industriel et commercial, il devait encore 184 000 francs à la fin février 1916, malgré la vente d'un grand nombre de valeurs pour tenter de rembourser cette dette. Les intérêts annuels sur ses soldes débiteurs s'élevaient à 8% (Gian Balsamo, Proust and his Banker: In Search of Time Squandered, Columbia, South Carolina, The University of South Carolina Press, 2017, p. 38). Dans sa lettre du 13 mai 1916, Proust se plaignait de devoir payer en outre « des "agios" assez obscurs » et demandait à Hauser de s'entremettre pour tenter de ramener ses intérêts au taux de 6%, qui était, semble-t-il, le taux officiel du crédit depuis 1915 (voir CP 03097, note 5). D'après la présente lettre de Hauser, le Crédit industriel et commercial ajoutait en effet aux intérêts des « frais de commission ». Voir ci-dessous, note 7, au sujet du montant des frais bancaires imputés chaque mois à Proust. [FP, FL] </ref>