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 h English (en)<ref name="n2"> Note 2 </ref>
 h French (fr)<ref name="n2"> Selon ses dires, Proust avait obtenu du Crédit industriel et commercial une « avance » de 218 000 francs, à une date qu'il ne précise pas, pour acquérir un « stock énorme de Doubowaïa », cette « avance » étant gagée sur les titres qu'il détenait dans cette banque (voir CP 02807 ; Kolb, XIII, n° 156). Selon Gian Balsamo, c'est en 1912 qu'il aurait eu recours à cette ouverture de crédit (au taux de 8 % annuel), pour couvrir des dettes dues à ses spéculations boursières (Gian Balsamo, Proust and his Banker: In Search of Time Squandered, Columbia, South Carolina, The University of South Carolina Press, 2017, p. 38). Dans sa lettre du 25 mai 1916, Lionel Hauser fera le point sur cet emprunt : « D'après la lettre de l'Industriel du 28 février ton compte "avances" était débiteur d'environ 184 000 francs. » (CP 03115 ; Kolb, XV, nº 51). [FP, FL] </ref>